La doublure de satin
« La doublure de satin » car la douceur se cache souvent, il faut la chercher ! Certaines flèches tuent …. Pleurer est si minuscule … Couleur trompeuse …. Des mini poèmes à lire !
« La doublure de satin » car la douceur se cache souvent, il faut la chercher ! Certaines flèches tuent …. Pleurer est si minuscule … Couleur trompeuse …. Des mini poèmes à lire !
Si le temps est lourdRenie-leEt fie-toiÀ l’herbe qui reverdit
Bleu est la plus belle couleur – d’un ciel ou d’une plainte pure Geste léger de l’artiste jeté dans la froidure d’un espoir matinal
Je tremblerai dans les nuits dans les jours Je ressentirai le blues de minuit à midi et à point d’heure Je serai habillé, crayonné et enluminé ou alors une ombre au tableau noir des oublis enfantins Je serai loin de ce jour-ci collé blafard à la fenêtre fermée Je serai un emplâtre sur la folie…
La lumière qui aveugle la fenêtre laissée ouverte sur le jardin étonné confisque à l’oiseau ses couleurs Comment recevoir ce spectacle d’harmonie sourde et de fragilité Les yeux portés vers le chêne encore vert dans la clarté des vitres enflammées ° C’est dimanche ici Regard extérieur, pas de mouvement La maison est innocente de…
Au plus loin du centre au cœur d’un autre lieu infime surprise dérisoire découverte Quand l’habitude du proche s’en est allée qu’elle m’a fait faux bond s’est volatilisée comme le simple souffle de fraîcheur le matin devant ma bouche De ces nuits comme des abris des caresses des réconforts et des alliances qu’on croyait si…
Un ruisseau de cailloux gris serpente entre les arbres secs, pourtant le chemin cahote vers des lumières. Quand les ombres bleues se dressent, alors le froid entre dans nos têtes. C’est le souvenir que nous respirons, sur la terre fumante, dans l’odeur de truffe et de vent. AG – 2016 « Contente toi de baigner tes…
Autrefois on vibrait Sur une voix une parole C’étaient celles d’un père d’une mère qui remplissaient tout l’espace Les jeunes les vieux s’entendent-ils encore… Les sons les paroles ne tambourinent plus sur les mêmes peaux tendues des mêmes tambours L’amour a changé de son ne vibre plus aux mêmes contacts