Laisser l’eau courir

Laisser l’eau courir à nos pieds, la chaleur nous pénétrer, la lumière nous égayer : un matin sur une plage ensoleillée de la Méditerranée. Et pourquoi pas suivre en marchant ces coquillages qui montrent la voie vers Saint Jacques ? Mais là c’est autre chose…

Flic flac, tip tap, floc floc !

Flic flac, tip tap, floc floc … Mais que faudrait-il faire pour entendre la pluie tambouriner aux fenêtres, dégouliner des toitures, ruisseler sur les chemins, goutter dans les sous-bois …
Chanter, danser ? En d’autres lieux, des peuples appellent la pluie…

Fouille qui peut !

Aller chercher ailleurs d’hypothétiques surprises. Participer au grand ballet des avions autour de la planète, polluer l’espace et imposer sa présence en terre inconnue. Se retrouver sous des latitudes éloignées et effleurer une terre, un ciel, une végétation, une culture différents des nôtres. Pour seulement « apercevoir » des hommes, des femmes, des enfants dans leur environnement ?
Non décidément, nous devons privilégier le voyage de proximité, la découverte des biens que l’histoire a laissés à notre porte. C’est décidé, je prépare une campagne de fouilles dans mon jardin pour le printemps prochain !

Mon visa pour Perpignan

Un week end de septembre à Perpignan : beau temps, belle ville, beaux monuments (même la gare…) ! Visa pour l’image se terminait le dimanche, j’étais venue pour voir des photos chocs… L’émotion et la colère étaient réelles, impossible de rester impassible devant toute la misère du monde. Mais comment ne pas se sentir voyeur ?
Alors j’ai fait mon parcours photo, mon visa pour de simples images.